Excellent texte de Pierre de la Coste sur l'attitude moralement plus que condamnable de la gauche, prête à pactiser avec les communistes et leur idéologie mortifère criminelle, mais prompte à hurler au racisme au seul motif qu'un candidat de droite républicaine ose s'adresser à des électeurs du FN comme à des individus normaux et essaie de les convaincre que la chimère nationaliste et xénophobe n'est pas plus une voie d'avenir que le collectivisme rampant prôné par les socialistes et leurs alliés anticapitalistes. Court extrait:
Jean-Paul Huchon a de la chance. Son allié communiste a cautionné pendant des dizaines d'années les pires régimes totalitaire de la planète, et pas une voix ne s'élève pour condamner cette alliance. Alors pourquoi se géner? S'il est élu, la région Ile de France aura des vice-présidents communistes pendant six ans.
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Copé, lui, n'a pas de chance. Il est de droite. On lui reproche le simple fait de ne pas insulter Marine Le Pen et de s'adresser à ses électeurs comme à des êtres humains, par ailleurs citoyens français comme les autres. Cela suffit pour crier au fascisme...
Dans les commentaires, un internaute note que le candidat socialiste à la présidence de la région Auvergne, un certain M. Bonté, ça ne s'invente pas, a déclaré dans les colonnes de Libé, que "Même si c’est moralement difficile, ce serait bien que le FN franchisse la barre des 10%...". Ah oui, le combat contre l'extrême droite n'est peut être pas là où on le croit...
En tout cas, voilà une argumentation qui m'oblige à reconsidérer mon point de vue abstentionnniste pour le second tour. Car ma méfiance vis à vis de l'UMP ne doit pas me faire oublier que ces gens là, malgré le virage gauchisant prononcé de leur leader ces dernières années, valent tout de même mieux que la présence de communistes aux vices présidences de nos régions. Je m'étais déplacé au bureau de vote pour tâter l'ambiance au premier tour, je vais peut être passer par l'isoloir ce week end...
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