Aujourd'hui s'ouvre à Tunis, capitale de la riante Tunisie dirigée par le comique G.O. Ben Ali, le Sommet Mondial sur la Société de l'Information, parrainé par l'ONU pour, ne riez pas, "introduire un peu de démocratie dans la gestion de l'infrastructure de l'Internet qui en est tant dépourvue, tant elle est dominée par le gouvernement américain".
Ce pourrait effectivement être drôle si derrière la logorrhée lénifiante des promoteurs de cette mascarade, ne se cachaient (à peine) les vélléités liberticides de l'amicale de bienfaisance des tyrans et dictateurs du monde entier, complaisamment relayées par l'Union Européenne, avec mention spéciale pour la France, comme d'habitude.
La suite est à lire sur le site de l'institut Hayek de Bruxelles.
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