La commission Attali vient de remettre un rapport d’étape rendant compte de ses premiers travaux et effectuant quelques propositions, dont certaines tranchent singulièrement avec la ligne politique suivie par nos gouvernements jusqu’ici : abandon du principe de précaution et libéralisation de la grande distribution sont indubitablement de nature à susciter l’applaudissement de tout libéral qui se respecte. Mais que valent les propositions de la commission dans un domaine aussi complexe à aborder que le logement, dont l’envolée récente obère lourdement le niveau de vie d’un nombre croissant de familles modestes et moyennes ? Comment se situent-elles par rapport à la logique que je défends avec l’institut Turgot dans notre étude « Le logement, crise publique, remèdes privés ? »
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