« Le New Deal de Roosevelt n'a pas résolu la crise de 1929. Il l'a prolongée. | Accueil | Octobre vert pour Ob'Lib' ! Le petit blog qui monte, qui monte... »

jeudi 30 octobre 2008

Commentaires

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John Loque

On peut avoir le mp3 du débat de Courtoisie ? :-)

vincent

ils doivent me l'envoyer par CD - j'attends...

Niko

Tout à fait d'accord avec toi, si le gouvernement avait réellement voulu aider les PME, ce n'est pas en forçant les banques à prêter qu'il aurait du agir, surtout que les banques si elles peuvent choisir ne prêteront qu'à celle en très très bonne santé et pas à celle qui ont réellement besoin, mais si elles ne peuvent pas choisir elles vont devoir aider des canards boiteux, condamnés même sans la crise, ce qui donnera un nouveau CRA comme tu le dis si bien. Le problème est que l'intervention de l'Etat fausse toute notion de choix et si l'Etat avait réellement voulu aidé les PME, il aurait du décidé de suspendre et rééchelonner les paiements des cotisations sociales, à court terme, et à plus long terme, baisse même provisoirement le taux d'impôt sur les sociétés. Cela aurait permis de redonner de la trésorerie à court terme et des capacités d'autofinancement à moyen terme.
Mais bon, cela aurait aussi fait un petit trou dans le budget de l'Etat et les auraient empêché de faire de la politique à l'ancienne : RSA, emplois aidés et autres dépenses sociales qui vont permettre d'"amortir le choc de la crise"...

Moussars

Gonflé vous êtes d'accuser l'État américain !
Car, depuis longtemps, celui-ci est au service des puissants de ce pays !
Il est même devenu une coquille vide, dans laquelle les sociétés privées des copains (et même de certains hommes politiques au pouvoir : Chesnay, Rumsfeld...) se sontengouffrés. Rien que sur le plan militaire, toute la logitisque, le génie, sont l'objet de contrats avec le civil; les "militaires" du privé constituent en outre la deuxième force en Irak...

Ainsi, après avoir baissé les salaires, augmenté les dividendes, diminué les droits des salariés, accordé des parachutes dorées et des stocks options... (l'examen des PIB est révélateur sur ce point), les avides du libéralisme en voulaient encore plus : ils ont ouvert au-delà du bons sens, et de l'honnêteté, le crédit tout azimut au lieu d'augmenter les salariés pour faire tourner la consommation à tous prix et conserver leurs marges depuis le milieu des années 70 (soit après leur réaction aux Trente Glorieuses ici).

Maintenant que tous les artifices et injustices ont été utilisés, vous vous voulez accusé l'État !
Mais l'État, c'est d'abord un gouvernement d'hommes et de femmes, et, particulièrement aux U.S.A., aux ordres des financiers et des patrons !!!

Lorsque les autorisations de crédits hypothécaires étaient accordées à des gens ayant des revenus insuffisants, vous allez nous dire que les banquiers étaient contraints et forcés d'accorder des prêts sans fiches de paie suffisantes (lorqu'ils n'en faisaient pas des fausses pour justifier leurs prêts !) ?!

Robert Marchenoir

"Vous allez nous dire que les banquiers étaient contraints et forcés d'accorder des prêts sans fiches de paie suffisantes."

Oui, Moussars. Exactement. (Sans vouloir répondre à la place de Vincent.) Lisez donc le dossier très documenté sur la crise des subprimes, ici même, avant de recycler des slogans politiques éculés du style "l'Etat est au service des puissants".

sunday bone

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M. Bone dimanche

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