Une dernière Salve de brèves dédiées au Réchauffement climatique, et je laisse le sujet de côté pendant au moins une semaine sauf rebondissement immanquable.
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Taxe carbone et conseil constitutionnel - Il y a ceux qui sont surpris par la décision du conseil constitutionnel de censurer la Taxe Carbone, et il y a les autres.
JM bélouve (dont le livre "La servitude climatique" est enfin en vente sur Amazon, soit dit en passant) avait dès le 14 octobre laissé entendre dans cet article pour l'institut Turgot que Le conseil constitutionnel pourrait trouver à redire au texte de la taxe Carbone. Cette brillante intuition se révèle amplement confirmée. L'auteur nous livre dans ce texte paru sur le site de l'Institut Hayek ses échanges avec Maître Jean-Philippe Feldman, avocat spécialiste de fiscalité et de constitution, ce qui tombe très bien, au lendemain du vote du texte. Petit extrait:
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Encore une énorme "cagade" du GIEC - Ca devient dangeureusement habituel : Le Giec, qui prétend représenter la crème de milliers de scientifiques mondiaux, qui est censé ne publier que du travail "relu par les pairs", ne rejeter que les travaux les plus médiocres, et confier ses rapports qu'à des sommités scientifiques à l'honnêteté et la rigueur prouvées, vient de laisser passer une bourde monumentale au sujet des glaciers himalayens, que Jean Martin nous traduit en Français avec son bagout habituel:
"Les
glaciers de l'Himalaya sont en recul plus rapide que dans n'importe
quelle autre partie du monde (voir Table 10.9) et, si le taux [NDT : de
fonte] continue à son rythme actuel, la probabilité qu'ils
disparaissent en 2035 et peut-être plus tôt, est très grande si la
Terre continue à se réchauffer au rythme actuel. Sa surface totale
passera probablement de 500.000 km2 à 100.000 km2 en l'an 2035
(WWF, 2005)."
De prime abord, il
est surprenant de constater que la seule source revendiquée par le GIEC
pour étayer cette "information" particulièrement inquiétante, soit un
article du WWF, le World Wildlife Fund, alors que tout le monde
sait que cette organisation publie régulièrement des articles
catastrophistes évidemment non revus (peer-reviewed) par les
scientifiques. Sans aucun doute, cette source a échappé au processus du
peer-review dont Rajendra Pachauri, le Président du GIEC, nous répète pourtant urbi et orbi, que le peer-review est incontournable pour pouvoir figurer dans les rapports du GIEC...
Les résultats de ces deux enquêtes et des réactions suivantes nous en apprennent beaucoup sur le "sérieux" des rapports du GIEC qui sont pourtant censés rassembler l'essentiel des données scientifiques avérées sur le climat et servir de base à l'élaboration d'une politique mondiale contraignante.
A partir de la source du document du WWF (2005) cité, le Professeur Cogley a remonté la piste jusqu'au seul document ( non revu par les pairs) qui évoque la question et dans lequel on retrouve d'ailleurs la phraséologie utilisée dans le rapport AR4 du GIEC... à un gros détail près comme nous allons le voir. Il s'agit d'un document de travail pour l'UNESCO édité en 1996. (Kotlyakov, V.M., 1996, The future of glaciers under the expected climate warming, 61-66, in Kotlyakov, V.M., ed., 1996, Variations of Snow and Ice in the Past and at Present on a Global and Regional Scale, Technical Documents in Hydrology, 1. UNESCO, Paris (IHP-IV Project H-4.1).
Voici la phrase de Kotlyakov que l'on trouve à la page 66 de ce document :
"The
extrapolar glaciation of the Earth will be decaying at rapid,
catastrophic rates - its total area will shrink from 500,000 to 100,000
square kilometres by the year 2350.".
Soit, en français : La glaciation extrapolaire (NDT : C'est à dire de tous les glaciers hors des pôles) décroîtra à des vitesses rapides, catastrophiques - sa surface totale se rétrécira de 500.000 à 100.000 kilomètres carrés aux environs de l'année 2350."
A rapprocher de la phrase cruciale du rapport scientifique du GIEC de 2007 (AR4, WGII, page 493)
Its total area will likely shrink from the present 500,000 to 100,000 km2 by the year 2035"
"Sa surface totale se rétrécira probablement de 500.000 à 100.000 km2 aux environs de l'année 2035 "
Outre la substitution des dates 2350 par 2035
qui laisse rêveur, il faut noter que le rapport Kotlyakov concernait
les 500.000 km2 de tous les glaciers de la planète (hors les pôles) et
que ce même chiffre ne peut, en aucun cas, s'appliquer aux glaciers
Himalayens seuls. Il y a donc, au moins, deux erreurs dans le rapport
du GIEC.
Le Professeur Cogley en déduit qu'il s'agit probablement d'une grossière "erreur" de transcription ( 2035 au lieu de 2350 !) due à un ou à plusieurs des 10 auteurs du rapport du GIEC en question. Il fait remarquer qu'il est quand même très difficile d'imaginer qu'une telle énormité ait réussi à passer les filtres de la révision systématique (...) Nous verrons plus loin que malgré les objections, ce texte avait bien réussi à passer tous les filtres, en parfaite connaissance de cause.
(...)
Bref, non seulement le papier de base ne valait pas grand chose, mais sa transcription par le GIEC a franchement agravé les dégâts. Mais le GIEC a-t-il commis une simple erreur qui n'avait été révélée par personne. Que Nenni. Des Scientifiques Indiens et Népalais, et même le ministre de l'environnement de l'Inde, l'avaient interpelé, en arguant de travaux de scientifiques locaux qui ne partageaient pas du tout les mêmes conclusions... Pourtant, son président a balayé les objections en termes insultants:
Comme de bien entendu, Rajendra Pachauri, le CEO du GIEC, a été rudement interpelé au sujet du texte ultra-alarmiste sur l'Himalaya publié dans le rapport scientifique AR4 du GIEC, sans aucun support scientifique, contrairement à ses exigences répétées. Ses réponses sont intéressantes. En voici quelques-unes à propos du rapport indépendant commandé par le Ministre Indien de l'Environnement :
"Nous avons une idée très claire de ce qu'il se passe (NDT : Sans support scientifique ?). Je ne sais pas pourquoi le ministre soutient cette recherche infondée. C'est une affirmation extrêmement arrogante."
Par ailleurs, R. Pachauri a qualifié l'étude du Dr Raina de "science Vaudou" en ajoutant que "le GIEC est un organisme sérieux dont le travail est vérifié par les gouvernements". En tout cas, et pour le moins, le gouvernement Indien ne semble pas enthousiasmé...
Lisez toute l'histoire chez Jean Martin. Et revenez nous dire ce que vous pensez de la qualité de la sélection des travaux du GIEC !
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Que vaut le Consensus du GIEC ? - Vous me direz que cette énorme bourde n'est qu'une toute petite erreur sans importance, comme il peut en être commises sur une telle masse de travail produite par le GIEC.
Les réchauffistes en reviennent toujours à l'argument: "Le GIEC, c'est un consensus de 2000, non plutôt 4000 scientifiques ! peuvent-ils être tous mauvais ou pire, malhonnêtes ?"
D'une part le Climate Gate a révélé des brèches béantes dans le consensus même au sein de la "Climate Gate Team" (oui, je sais, ça fait CGT. Oui, je l'ai fait exprès), que la fine équipe faisait taire dès qu'elle entrait dans le domaine public, et les travaux de la fine équipe en question ont servi de base à de très nombreuses études de confrères dont on peut se demander pour certaines d'entre elles ce qu'elles valent vraiment de ce seul fait.
D'autre part, le Science and Public Policy Institute a analysé la valeur du "consensus". J'en résume quelques grandes lignes ci après.
Le
GIEC n'est pas en lui même un organisme de recherche mais une
institution sous l'égide de l'ONU qui aide au financement et compile
les résultats de recherche parus dans des revues scientifiques jugées
sérieuses. Les récents échanges de mels entre M. Jones et ses collègues
semblent montrer que le caractère "sérieux" d'une revue s'évaluait, du
point de vue de certains "lead authors" du GIEC, autant sur des
questions politiques que scientifiques.
Les rapports du GIEC
(les rapports techniques et le résumé à destination des décideurs) sont
donc le produit d'une aggrégation de travaux conduits par différents
chercheurs dans le cadre normal de leurs laboratoires.
Il est à noter qu'un certain nombre d'experts participants aux travaux
du GIEC sont appointés par leurs gouvernements, mais qu'ils peuvent,
une fois appointés, inviter d'autres experts à rejoindre leurs travaux,
et ainsi de suite. Sans doute certains gouvernements restent-ils
neutres quant à la désignation de leurs experts, mais on ne peut
exclure que d'autres introduisent, comme disent les scientifiques, un
"biais de sélection".
Le climat est un sujet très vaste. Et le GIEC ne s'en tient pas au climat mais à ses effets sur plusieurs autres ensembles (écosystèmes, mers, etc...) et sur les moyens de lutter contre le réchauffement. Bref, aucun scientifique ne peut prétendre maîtriser toute la science sur le sujet.
Le GIEC reconnaît parfaitement la disctinction entre champs
disciplinaires puisque le rapport technique est en fait constitué de
trois parties distinctes: "les bases scientifiques du climat" (Working Group I), "Vulnérabilités et adaptation aux changements du climat" (WG 2), et "moyens d'action contre le changement climatique" (WG3).
Nous
pouvons donc observer que le rapport WG1 est tout à fait crucial dans
la théorie du GIEC. C'est dans ce rapport qu'il est affirmé que
l'activité humaine est principale responsable du réchauffement. Si ce
rapport dressait des conclusions différentes, le rapport WG2 et WG3
n'auraient pas lieu d'être.
Ce rapport est il vraiment le fruit du consensus de "milliers d'experts", comme l'implique la communication du GIEC ? Selon l'analyse du SPPI (complète ici, court résumé au §7 ici)
The analysis of the WG I report for the 4AR revealed that:
(a) A total of just 308 reviewers (including reviewers acting on behalf of governments) examined the 11 chapters of the WGI I report
(b) An average of 67 reviewers examined each chapter of this report with no chapter being examined by more than 100 reviewers and one by as few as 34.
(c) 69% of reviewers commented on less than 3 chapters of the 11-chapter report. (46% of reviewers commented on just one chapter and 23% on two chapters, thus accounting for more than two-thirds of all reviewers.)
(d) Just 5 reviewers examined all 11 chapters and two of these were recorded as "Govt of (country)", which may represent a team of reviewers rather than individuals
(e) Every chapter had review comments from a subset of the designated authors for the chapter, which suggests that the authoring process may not have been diligent and inclusive
Chapter 9 was the key chapter because it attributed a change in climate to human activity but:
(a) Just 62 individuals or government appointed reviewers commented on this chapter
(b) A large number of reviewers had a vested interest in the content of this chapter
- 7 reviewers were "contributing editors" of the same chapter
- 8 reviewers were noted as "Govt of ..." indicating one or more reviewers who were appointed by those governments (and sometimes the same comments appear under individual names as well as for the government in question)
- Only 25 individual reviewers appeared to have no vested interest in this chapter
(c) The number of comments from each reviewer varied greatly
- 27 reviewers made just 1 or 2 comments but those making more than 2 comments often drew attention to typographical errors, grammatical errors, mistakes in citing certain papers or inconsistencies with other chapters, so how thorough were these reviews with very few comments?
- only 18 reviewers made more than 10 comments on the entire 122-page second order draft report (98 pages of text, 24 of figures) and 9 of those 18 had a vested interest
(d) Just four reviewers, including one government appointed team or individual, explicitly endorsed the entire chapter in its draft form - not thousands of scientists, but FOUR!
The claim that the IPCC’s 4th Assessment Report carries the imprimatur of having been reviewed by thousands, or even hundreds, of expert and independent scientists is incorrect, and even risible. In actuality, the report represents the view of small and self-selected science coteries that formed the lead authoring teams.
La lecture du rapport complet est un peu rébarbative mais révèle de nombreux autres biais du processus de sélection des papiers et de relecture des travaux du GIEC. Il apparait que de nombreux commentaires remettant en doute certains passages du rapport sont purement et simplement rejetés pour des raisons peu claires, et que globalement, le processus de peer review au sein du GIEC est de qualité très médiocre.
Bref, le consensus avec lequel l'on nous rebat les oreilles n'est qu'une mystification du GIEC, une de plus.
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Stations trafiquées, un point d'étape - Je vous ai déjà évoqué en diverses occasions que les révélations des données brutes de certaines stations météorologiques posaient des questions à ce jour non résolues sur les méthodes d'ajustement employées des données brutes.
Tout d'abord, rappelons qu'il n'est pas anormal d'ajuster des données lorsque les conditions de la mesure changent, pour maintenir l'intégrité d'un référentiel. Ce n'est donc pas l'emploi de données ajustées qui est condamnable par principe, mais l'emploi de méthodes au mieux mal documentées, au pire délibérément biaisées.
A ce jour, des cas ont été repérées en Nouvelle Zélande (ajustements incompréhensibles), en Australie (idem), et plus récemment en Russie (données "dérangeantes" sciemment oubliées par le GIEC), d'où un biais de sélection augmentant artificiellement la tendance au réchauffement de 0.66°C en Russie.
Sachant que Vincent Courtillot a décelé de telles "bizarreries" en Europe, qu'il évoque dans ses conférences antérieures au Climate Gate, et que mes "vieux" lecteurs savent déjà que sous la pression de S. McIntyre, la Nasa et le Goddard Institute de James Hansen avaient dû reconnaître avoir exagéré l'importance du réchauffement des années 90 aux USA par rapport aux années 30... Cela commence à faire vraiment beaucoup.
On peut donc craindre que d'autres zones ne soient affectées de tels biais d'ajustement exagérant le réchauffement sur les années récentes. C'est extrêmement triste pour tous les scientifiques qui, de bonne foi, se sont inspiré des "résultats" du GIEC pour étudier la relation de certains phénomènes au climat.
Et c'est surtout très grave pour les citoyens contribuables du monde entier dont beaucoup se voient imposer des politiques coûteuses et parfois liberticides au nom d'un réchauffement sans doute largement "retravaillé" pour paraître plus spectaculaire.
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Même si la météo chinoise ose mettre tout cela sur le compte du "réchauffement climatique", qui provoquerait des "phénomènes extrêmes dans les deux sens", voilà qui ne peut guère inciter à croire que nous vivons une époque de réchauffement particulièrement intense, et que l'intensité de l'activité magnétique solaire est un élément clé de notre climat, avec lequel nous devons composer...
Je sais, je sais : quand c'est une manifestation du froid, "c'est la météo, pas le climat" ! Et quand il fait chaud, "c'est la preuve du réchauffement climatique".
Les prédictions de Mojib Latif (voir ici chez Jean Martin), un océanologue estampillé GIEC qui a prédit un retour de 10 à 20 ans de périodes froides, seraient elles en train de se réaliser ?
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Il fait froid en Angleterre - Brrr... Et pourtant, un véritable cauchemar financier attend les sujets de sa grâcieuse majesté. Le gouvernement Brown, qui voudrait que la Grande Bretagne soit plus verte que verte, propose un plan de développement à marche forcée d'énergies nucléaires et renouvelables qui pourrait porter à... 5 000 livres annuelles (compter 6000 à 8000 euros selon le taux de change) la facture énergétique d'un ménage moyen ! Inutile de dire que l'opposition réclame la remise en question des mesures annoncées par le gouvernement...
Dès à présent, bien des anglais ont du mal à payer leurs factures. La crise... Alors ils brûlent... Des livres d'occasion, rachetés à l'armée du salut et autres charités. Mais que font nos écologistes grand-bretons pour stopper cet holocauste culturel et carbogénérateur ?
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Klimat Jugend Sieg Heil ! - Papy Jako publie un étonnant article sur les méthodes que certains groupes écologistes voudraient employer vis à vis de nos très jeunes enfants, qui assureraient une sorte de police des comportements écologiques.
Surtout, la communication assimile des petits oublis de la vie quotidienne (la lumière, la télé en mode veille, etc...) à des CRIMES écologiques. Le ridicule ne tue plus...
Etant proche de gens qui ont connu des régimes où les parents s'efforçaient de ne dire que des banalités devant leurs enfants de peur qu'ils les répètent à leur instituteur, avec des conséquences potentiellement dramatiques, je ne puis que manifester une certaine crainte devant le retour de tels procédés.
Aucun pays n'est à l'abri. L'Examiner s'inquiète, aux USA, des effets perceptibles de l'endoctrinement de nombre d'enfants et de la transformation induite de leur comportement sur leur famille:
A quand le premier massacre climatique dans une école ? Des enfants dénonçant leurs parents à la police pour enfermement de nourritures tièdes dans le réfrigérateur ? On vit une époque formidable.
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C'est tout pour aujourd'hui !
Vous êtes mal barré en continuant à prendre Jean Martin pour référence, ce pseudo scientifique plus prompt à faire dire aux scientifiques du GIEC des choses qu'il ne disent pas et à relayer des études qui ne sont pour le moins pas vraiment vérifiées dans les faits quand elles ne sont pas carrément fausses, vous perdez le peu de crédibilité (pour autant que vous en ayez) qu'on pourrait vous accorder.
Selon ce site dont la parole vaut bien celle de Martin ou la votre l'étude en question serait entachée de nombreux biais. Donc avant de vouer le GIEC aux génomies, une attitude honnête serait d'attendre une confirmation de ce qui est dit...Je rappelle que faire paraître une étude n'en fait pas pour autant une vérité, un exemple frappant la crosse de hockey (quoique les dernières études notamment celles des bisontins tendent à prouver que Mann avait finalement raison mais ceci demande à être confirmé encore plus).
http://webhimalaya.wordpress.com/2009/11/17/les-glaciers-himalayens-ne-fondraient-pas/
J'ai déja dit que *Martin* n'était pas le scientifique qu'il prétend être, je vais vous en donner une preuve supplémentaire. dans sa loghorrée sur l'article de Gehrard Gerlich et Ralf. D. Tscheuschner, le second principe de thermodynamique, il oublie une chose essentielle... LE SOLEIL car le soleil chauffe la terre qui envoie dans l'atmosphère ses IR qui sont absorbés par les GES qui à leur tour les renvoie dans l'atmosphère, donc en respectant le second principe de thermodynamique. Dans cette histoire il oublie totalement qu'il ne s'agit pas de réchauffement mais au contraire de refroidissement, en effet la terre chauffée à besoin de se libérer de cette chaleur donc elle rayonne et les GES freinent ce refroidissement, donc plus le taux de GES sera important plus le refroidissement sera freiné, c'est exactement comme le pull qu'on enlève quand on est au soleil.
Enfin une fois de plus monsieur Bénard, vous venez de confirmer toute la malhonnêteté dont vous êtes capable (serait-ce congénital?).
Pour le reste mélanger météorologie (vague de froid actuelle) et climatologie montre soit une incompétence notoire soit une preuve de malhonnêteté supplémentaire.
Rédigé par : Robert | mercredi 06 janvier 2010 à 13h57
"Vous êtes mal barré en continuant à prendre Jean Martin pour référence, ce pseudo scientifique" et vous vous etes qui??
"Selon ce site dont la parole vaut bien celle de Martin ou la votre l'étude en question serait entachée de nombreux biais. Donc avant de vouer le GIEC aux génomies, une attitude honnête serait d'attendre une confirmation de ce qui est dit...Je rappelle que faire paraître une étude n'en fait pas pour autant une vérité, un exemple frappant la crosse de hockey (quoique les dernières études notamment celles des bisontins tendent à prouver que Mann avait finalement raison mais ceci demande à être confirmé encore plus)."
en français please??? Mann aurait raison?? plus un seul scientifique n'y croit à cette manipulation, a part vous, vous nous faites bien rire... d'ailleurs je me suis laissé dire que vous vous seriez déjà fais éjecter de pas mal de site ou vous avez étalez votre non-science... pitié épargnez nous votre charabia!
"Pour le reste mélanger météorologie (vague de froid actuelle) et climatologie montre soit une incompétence notoire soit une preuve de malhonnêteté supplémentaire." savez vous que le MET office utilise les même équations pour leurs prévisions à 3 et 6 mois que pour prévoir le climat en 2100?? et ben vu les résultats de leurs dernières prévisions, il semble que leurs prévisions de 2100 ne valent plus vraiment grand chose!!
Pour votre explication du deuxième principe de thermo, tout va bien alors? la terre se refroidit seulement moins vite avec des GES, je conseil donc donc a tous le monde de faire tourner leur moteur juste pour nous réchauffer...
PS: pourquoi vous n'avez pas un avis sur l'étalement urbain?? la politique chinoise?? le rôle de la fed et de la dette?? ou vous n'êtes capable finalement que de troller des qu'on parle de réchauffement comme un reflexe pavlovien d'un membre du polit-bureau de greenpeace??
Rédigé par : mica | mercredi 06 janvier 2010 à 16h53
Mica @
"""pourquoi vous n'avez pas un avis sur l'étalement urbain?? la politique chinoise?? le rôle de la fed et de la dette??"""
Contrairement à d'autres, quand je n'ai pas suffisamment de compétences sur un sujet, je ferme ma gueule.
""" d'ailleurs je me suis laissé dire que vous vous seriez déjà fais éjecter de pas mal de site ou vous avez étalez votre non-science..."""
Pouvez étayer siouplait? Ou c'est juste une simple assertion sans aucun fondement comme je peux en lire souvent.
Rédigé par : Robert | mercredi 06 janvier 2010 à 18h44
Robert@
On a déjà répondu à la grosse manipulation de la crosse de hockey.
Mais je viens de découvrir que notre cher robert bové avait suivi depuis noël une formation accélérée dans les mécaniques des fluides et la thermodynamique.
Jean martin était directeur de recherche au CNRS et de plus sont site ne fait que synthétiser les travaux de chercheurs de par le monde, donc selon vos propos tous les scientifiques qui n'adhère pas à la ligne du parti doivent être interdit de parution (belle mentalité).
Le problème est que vous mélangez tout, pourtant toutes ces données sont accessibles aux néophytes comme vous; il existe toujours des desaccords concernant la physique du phenomene "effet de serre" et son application a l'atmosphere terrestre, en particulier pour les differents parametres sur la chaleur, son transfert et les lois de la thermodynamique.
Quand la température des océans monte, le flux de chaleur émergent de la planète vers l’espace croît également, ce qui constitue une rétroaction négative. En gros siles températures montent, le climat se régule tout seul en envoyant plus de chaleur dans l’espace, ce qui tend à le refroidir.
Rédigé par : gordon | mercredi 06 janvier 2010 à 20h37
"Jean martin était directeur de recherche au CNRS et de plus sont site ne fait que synthétiser les travaux de chercheurs de par le monde"
Vous avez dit synthèse ??
Dans sa chronique "CO2 et plancton", Jean Martin prend un article de science qui montre que le CO2 a un effet bénéfique sur le plancton... et en tire les conclusions que vous imaginez...
Ok... J'engage quiconque de bonne foi à faire une recherche rapide sur Google Scholar avec les mots clés "ocean calcification" ou "ocean acifidication"...
Y'a une pelletée de références qui montrent le contraire de celle citée par Martin (et ce n'est qu'un exemple... les autres chroniques souffrent de la même subjectivité...)
Une "synthèse!" Ah... j'en rigole encore...
Rédigé par : laterjuju | mercredi 06 janvier 2010 à 22h05
@ Robert: que vous soyez en désaccord avec moi, passe encore. Que vous me traitiez de malhonnête, par deux fois, est extrêmement désagréable, mais j'en ai vu d'autres. Que vous vous permettiez de fines allusions "congénitales" dépasse les bornes. Je vous bannis de ces commentaires.
Ah au fait: M. Martin est libre des raisons qui le poussent à préférer l'anonymat (notez que je respecte le votre, bien que j'ai votre e-mail: vos raisons de rester anonyme sont il est vrai évidente tant votre vacuité intellectuelle est patente). Mais, ayant acheté et lu un de ses ouvrages, je puis vous certifier que scientifiquement, vous n'êtes pas digne de lui nouer ses lacets.
Au revoir monsieur.
Rédigé par : vincent | mercredi 06 janvier 2010 à 22h35
hé hop éjecté une fois de plus... quelle tache ce mec...
Rédigé par : mica | mercredi 06 janvier 2010 à 22h55
Enfin le troll, est éjecté. Cela fait longtemps que je l'aurais fait. Espérons qu'il ne revienne pas avec une autre adresse ip.
Rédigé par : floyd | mercredi 06 janvier 2010 à 23h14
laterjuju@
Enfin vous avez compris ce qu'est la science:
Une somme de questions avec parfois des réponses, des suggestions avec des échanges même contradictoires, surtout pas consensuels.
Jean martin nous exprime son avis scientifique et technique comme le font certains qui ont un avis opposé et apportent des arguments intéressants à étudier.
Voilà l'énorme différence entre les libéraux et les radicaux versus écolos comme vous, nous n'opposons pas une fin de non recevoir à la théorie du réchauffement médiatique mais devant l'importance des enjeux, nous souhaitons que TOUS les avis soient pris en comptent et que nous prenions le temps de décider de notre avenir.
Mon scepticisme à l'intention de cette théorie est dû à 2 raisons:
1/ Des prévisions mathématiques parcellaires, NON personne ne peut prévoire l'avenir.
2/ Une quantification théorique de la pollution en CO2, là aussi la plus grande IMPOSTURE du 21° siècle, où l'on veut nous faire avaler (comme la préciser dans plusieurs posts Vincent) qu'il est possible de s'échanger nos poubelles, voyons vous réaliser l'abusrdité d'un tel discours, surtout quand on constate que certains en font un investissement spéculatif.
Rédigé par : gordon | jeudi 07 janvier 2010 à 11h37
Robert s'était le che guevara du trollisme vert avec une dialectique extrémiste qui voyait dans la lutte contre le réchauffement climatique un moyen détourné d'éliminer le capitalisme honnis.
Mais force est de constater que ses commentaires s'enlisaient au fil du temps dans des contradictions de plus en plus incompréhensibles et audibles.
(... remarque finale certes humoristiquement défendable mais déplacée dans le contexte et donc censurée par le propriétaire du blog...)
Rédigé par : gordon | jeudi 07 janvier 2010 à 11h42
@Gordon...
"Enfin vous avez compris ce qu'est la science"
C'est parce que discuter avec vous m'a permis d'accéder à des sphères de compréhension dont je n'aurais jamais soupçonné l'existence, Gordon... Quel sot aie je donc été d'enchainer DEA,thèse,post-docs, articles et conférences... alors qu'il suffisait de venir parler avec vous pour être touché par la grâce du scientifique...
"Jean Martin nous exprime son avis scientifique et technique"
Quand Jean Martin, physicien, nous sort 1 article remettant en cause l'impact de l'acidification des ocean sur la calcification des organismes alors qu'il y en 99 qui montrent le contraire... Quand il pretend en plus avoir une démarche scientifique basée sur l'analyse des thèses et antithèses... alors je dis :
1. Qu'il n'a pas du de toute façon comprendre grand chose à cette littérature...
2. Que tant d'hypocrisie reflète surement son anti-écologisme primaire...
Dans la mesure où sa chronique "CO2 et Plancton" ne pourrait tromper quiconque sait se servir de Google Scholar (et encore moins un biologiste sérieux...), je me dis aussi que cette hypocrisie opère en plus sur un fond de bêtise substantiel...
Finalement, c'est plutôt rassurant quant à son impact potentiel, qui doit probablement être proche du néant en dehors de sa propre paroisse...
Rédigé par : laterjuju | samedi 09 janvier 2010 à 01h27
@Gordon
En plus, la conclusion de l'article qu'il présente est, dans les faits, beaucoup plus prudente que son interprétation personnelle, péremptoire et infondée...
L'extrapolation de cette interprétation déformée à l'ensemble des organismes marins a encore moins de sens...
Cette chronique "CO2 et plancton" n'a rien de scientifique, c'est de la propagande grossière...
Rédigé par : laterjuju | samedi 09 janvier 2010 à 01h37
@ laterjuju: "1 article remettant en cause l'impact de l'acidification des ocean sur la calcification des organismes alors qu'il y en 99 qui montrent le contraire"
désolé de vous contredire, mais l'étude SPPI que je cite dans ce post contient à peu près 140 études qui vont dans le sens des sceptiques (et cite une dizaine de références réchauffistes, mais ce n'est pas leur boulot de recenser toute la science pro-catastrophiste...)
http://www.objectifliberte.fr/2009/12/le-co2-nest-pas-un-polluant.html
Rédigé par : vincent | samedi 09 janvier 2010 à 12h46
@Vincent,
140 ??! Waouuuuuu... Et c'est quoi le SPPI et leurs publications ? Ca a un rapport avec Disney et le Journal of Mickey ? Parce que bizarrement leur revue n'est pas dans mon ISI Web of Science...
C'est d'autant plus trompeur qu'il existe bien une revue Science and Public Policy (elle répertoriée parmi les revues scientifiques à Impact Factor) qui n'a rien à voir avec l'institut dont vous nous présentez les travaux...
La revue du SPPI n'a donc aucune valeur scientifique. Vu comment Jean Martin déforme les conclusions de l'article de Science, que dois je penser de la façon dont nous sont transcrit les 140 papiers analysés par le SPPI ?
"mais ce n'est pas leur boulot de recenser toute la science pro-catastrophiste..."
Justement si... la science est dans la confrontation des hypothèses alternatives, pas dans la sélection de 140 articles (waouuuuu) qui vont dans le sens de ce que vous pensez...
Après, si ça satisfait votre conception de la science... pourquoi pas... d'ailleurs, comme je disais à Gordon, c'est même franchement rassurant... ça limite votre impact...
Par contre pour me convaincre, va falloir revenir avec des références dignes de ce nom. Je vous le redit, faites donc une recherche bibliographique sous ISI ou google scholar à défaut... vous nous ferez un petit rapport, ça sera surement très drôle...
Allez chiche, je vous mets au défi de taper "océan CO2 calcification" sous un de ces deux moteurs et de nous coller l'ensemble des abstracts sur votre blog... que chacun puisse juger par lui même... Si y'en a trop, limitez votre recherche à 2008-2009, par exemple. Mais surtout, donnez nous les détails de votre protocole, que ce soit reproductible...
Mais allons donc... suis je bête... les gens avec un peu de plomb dans la tête auront déjà fait cette démarche et fuit votre blog depuis longtemps... Je lutte contre un moulin à vent...
Pour finir, je découvre dans votre article que vous prenez comme exemple les faunes hydrothermales et les papiers de Lymen & Junniper, 2006 - Tunnicliffe, 2009 pour argumenter que les organismes peuvent s'adapter aux conditions acides...
C'est avec beaucoup de joie que j'ai lu ce passage, étant justement spécialiste de l'évolution des faunes marines en général et hydroythermales en particulier...
Les sources hydrothermales sont des milieux extremes à bien des égards (absence de photosynthèse, pression, pH, composition chimique,...). Les organismes qui y vivent sont hautement adaptés à ce milieu et à ses variations (de pH ou autres). Les écosystemes hydrothermaux et leurs faunes ne sont donc absolument pas représentatifs du milieu marin et c'est vraiment le plus mauvais exemple que vous pouviez choisir.
Vous apprendrez par ailleurs, cher monsieur, que les organismes s'adaptent à de nouvelles conditions sur des dizaines de milliers d'année (et non pas à l'échelle temporelle de la production anthropique de CO2...) et que dans la course à l'adaptation, il y a de nombreux perdants...
Après avoir parcouru un peu votre blog, je suis maintenant persuadé que votre démarche reflète d'une idéologie politique et donc partisane... ce qui en soit n'est pas un reproche... Par contre, sélectionner la littérature scientifique qui abonde dans votre sens... ça c'est vraiment pas honnête (je vais finir par penser que c'est caractéristique de l'homme politique en général).
Je crois avoir perdu assez de temps sur ce blog...
Sans rancune...
PS: la prochaine fois que je croiserais Juniper en congrès, je lui raconterais comment ses articles ont été utilisés sur un petit blog français pour argumenter contre l'impact de l'acidification des oceans sur la calcification... Sûr que ça va lui en boucher un coin !
Rédigé par : laterjuju | samedi 09 janvier 2010 à 20h01
@ Monsieur Robert
Je soussigné, Jean-Michel Bélouve, alias Michel Bénard, certifie connaître la personne dont le pseudonyme est Jean-Martin, certifie que ce Monsieur, de par la valeur de ses diplômes, par les états de services de sa très brillante carrière scientifique, où il a exercé des activités de direction de recherches et de laboratoires, de par ses écrits et publications, est parfaitement qualifié pour tenir les propos qu'il publie dans www.pensee-unique.fr.
Les allégations contraires ne sont que des inférences gratuites et sans fondements.
Voila Monsieur Robert.
Il ne vous reste plus qu'à me traiter de menteur. mais là, voyez-vous, vous risquez d'être sommé, par voie de justice si nécessaire, à apporter des preuves de vos accusations contre Jean Martin. Et ne croyez pas que votre sobriquet de Robert vous protégera, car votre IP est forcément enregistré, et le responsable de ce blog sera cité comme témoin.
La balle est dans votre camp.
Rédigé par : jean-michel bélouve | dimanche 10 janvier 2010 à 11h55
@ tous
La confidentialité des échanges internet, et l'utilisation de pseudonyme, ne sauraient cautionner l'irresponsabilité et la calomnie. La liberté ne peut se transformer en liberté de nuire.
Rédigé par : jean-michel bélouve | dimanche 10 janvier 2010 à 11h59
J'apprends que Monsieur Robert a été éjecté des commentaires de ce blog, et qu'il ne pourra que lire, et non répondre, à mon apostrophe. Désolé, Monsieur Robert. Allez répandre votre venin ailleurs. je vous signale que je publie assez souvent sur Institut Turgot, Agoravox, le Cri du Contribuable et divers autres supports on line, de quoi déverser votre bile de trolleur vert.
Rédigé par : jean-michel bélouve | dimanche 10 janvier 2010 à 12h28
laterjuju@
C'est parce que discuter avec vous m'a permis d'accéder à des sphères de compréhension dont je n'aurais jamais soupçonné l'existence, Gordon... Quel sot aie je donc été d'enchainer DEA,thèse,post-docs, articles et conférences... alors qu'il suffisait de venir parler avec vous pour être touché par la grâce du scientifique...
Je vous félicite pour votre DEA et je ne vous demande pas autant d'éloges dithyrambiques à mon encontre, même si cela montre (de la part d'un scientifique dont je ne connais pas le domaine de prédilection...)une certaine condescendance.
Maintenant vous affirmez qu'il suffit d'effectuer une recherche par l'intermédiaire de google scholar
pour obtenir une réponse évidente sur le sujet, hors en essayant de sonder les différents travaux et avis, on ne peut constater que la communauté scientifique reste diviser sur le sujet.
Je tiens à rappeler que le sujet n'est qu'une référence parmi d'autres du bien fondé de la théorie du global warming.
Puisqu'il semble que vous soyez compétent dans le domaine de la biologie marine, contrairement à moi, je vous invite à m'expliquer (dans une petite synthèse), le fondement de votre position afin d'en débattre même si je ne suis pas aussi qualifié que vous(j'ai fait math spé), je devrais arriver à comprendre avec des mots simples.
Pour ma part, ce que j'ai pu comprendre, c'est une étude récente à soumis des crustacés, algues, coraux, à des concentrations de CO2 allant jusqu'à 7 fois la norme actuelle.
jusqu'à 3 fois la concentration actuelle, aucun organisme n'a été affecté.
- au delà de 3 fois la concentration actuelle, 7 organismes sur 18 ont augmenté l'épaisseur de leur carapace/coquille, alors que l'acidification aurait du dissoudre celle-ci.
Au rythme moyen auquel les concentrations de CO2 augmentent (1,4 ppm/an), il faudrait + de 400 ans -pour parvenir à 1000 ppm, et on n'aura même pas atteint le triplement
Enfin, jusqu'à 7 fois la concentration, des effets néfastes se font jour, mais il faut pour cela monter à près de 2400 ppm (contre 340 ppm env. actuellement).
Mais je vous laisse la parole d'expert pour m'expliquer à partir de quelle expérience et surtout comment vous arriver à votre conclusion.
Rédigé par : gordon | dimanche 10 janvier 2010 à 16h59
"Pour ma part, ce que j'ai pu comprendre, c'est une étude récente à soumis des crustacés, algues, coraux, à des concentrations de CO2 allant jusqu'à 7 fois la norme actuelle"
Je ne vois pas la référence à cette étude: source ?
Je suppose qu'il s'agit d'une étude de laboratoire: intéressante sans nulle doute pour comprendre la physiologie des organismes marins, mais je pense difficilement applicable à un écosystème entier.
Un exemple pour comprendre ce que je veux dire:
J'arrive à cultiver un palmier sur ma terrasse : j'en conclu qu'il résiste très bien au température hivernale. Mais pourquoi n'y a t'il pas de forêts de palmiers autour de chez moi ???
Quand bien même se palmier résite au froid, dans le milieu naturel il est en compétition avec des plantes bien plus adatpés qui poussent plus vite et qui ne laissent aucune chance à des organismes adaptés au chaud.
On peut penser au même phénomène avec l'acidification: la résistance mesurée artificiellement en laboratoire des organismes pris individuellement ne laissent absolument pas présager de l'effet sur un écosystème entier.
Rédigé par : Warm | lundi 11 janvier 2010 à 13h29
warm@
Je ne vois pas la référence à cette étude: source ?
Cette expérience a été réalisée par le Woods Hole Oceanics Institution qui normalement un supporter du global warming.
http://www.whoi.edu/page.do?pid=7545&tid=282&cid=63809&ct=162
je tiens à préciser que je n'ai fais que sonder selon la méthodologie de laterjuju étant donné que je n'ai pas d'avis tranché sur le sujet, comme je l'avais indiqué dans mes précédents commentaires.
Données ifremer:
Le pH varie entre 7,5 et 8,4 (supérieur à 8 pour les eaux de surface) :solution la plus basique.
rappel: l'échelle logarthymique est de 1 à 10.
Le pH dit "neutre" est de 7.
http://www.sciencemag.org (site payant)
Mais si on traduit: le pH moyen de la mer de Chine, reconstitué à partir des coraux, a varié de façon cyclique, entre 1750 et aujourd'hui, entre 8,17 et 7,90(avec 1 point bas atteint en 1990.
Selon cette étude, même si le point le plus bas correspond à la période 1988-90, aucune tendance confimée à l'acidification ne peut être observée, l'océan semble connaître des variations cycliques de son PH entre 7,9 et 8,2.
L'étude a portée sur des organismes vivants (y compris les coraux) les plus sensibles au risque d'acidification de l'eau, n'oublions pas que certains cas étudiés aurait une influence sur le reste de l'éco système marin si les résultats avaient été dans le sens de l'objectif initial.
Je suis surpris des déclarations péremptoires des réchauffistes sur le sujet de l'acidification des océans, comme si après l'échec retentissant de leurs puissants lobbying à COP15, ils avaient trouver, ce que j'appelerai un nouveau serpent de mer.
Une autre information m'a interpellé au cours de mes recherches tard dans la nuit, est que de nombreux programmes de recherches sur le sujet (exemple l'allemagne qui débloque 8,5 millions d'euros en septembre dernier), viennent seulement de débuter.
Donc comme peut on affirmer que les débats sont clos et puis remettre systématiquement en cause les sources (type SPPI fourni par Vincent) alors que je ne vois pas de sources plus probantes donner par notre doctoral laterjuju.
Je vous laisse juger des incertitudes d'un sujet aussi complexe.
Rédigé par : gordon | lundi 11 janvier 2010 à 15h35
@ gordon: excellent résumé, mais quand on est de mauvaise foi on pourra trouver quelques choses à redire... toujours... et donc les discussions sont sans fin!! c'rest pour çà que j'ai abandonné à discuter par blog interposé, çà ne sert à rien... pas plus qu'avec des gens bornés...
Rédigé par : mica | mardi 12 janvier 2010 à 18h26
Mica@
Merci pour votre soutien, mais cela ne m'effraie pas et je pense que Vincent et d'autres blogeurs ont compris le rôle majeur que va jouer sur les décisions politiques de demain, le net.
La presse classique ayant perdu son oligopole de l'information, une révolution sociale et économique est en marche.Les réchauffistes ont compris tout l'intérêt de ce nouveau média et se sont opposés avec véhémence à l'émergence d'une opposition et d'un débat d'idée car de nombreux lecteurs ne se sont pas encore positionnés et cherche à comprendre les enjeux et la part de vérité dans les discours des uns et des autres.
Cordialement
Rédigé par : gordon | mercredi 13 janvier 2010 à 12h30
tient plus de réponse de notre DEA???
Rédigé par : mica | vendredi 15 janvier 2010 à 17h32
Sur le recul des glaciers.
Que les glaciers reculent cela est avéré.
Qu'ils fondent, cela est-t'il vérifié ?
Le débit d'eau en aval des glaciers est une grandeur mesurable.
Si on me dit : le débit aval augmente tandis que le glacier recul , c'est de la fonte.
Si on me dit seulement que le glacier recule ou perd en épaisseur, il peut s'agir d'évapo-sublimation résultant de vents ou de sécheresse.
Dans le quel cas le réchauffement peut difficilement être invoqué.
Rédigé par : seredenpid | dimanche 24 janvier 2010 à 17h07
@Mica
Je savais que je vous manquais... mais que voulez vous, publier dans des vraies revues prends plus de temps que sur les blogs...
@Gordon
"Maintenant vous affirmez qu'il suffit d'effectuer une recherche par l'intermédiaire de google scholar pour obtenir une réponse évidente sur le sujet, hors en essayant de sonder les différents travaux et avis, on ne peut constater que la communauté scientifique reste diviser sur le sujet."
Pas tant de blabla Gordon... Alors votre recherche Google Scholar? Des ref ! Des ref !!
"je vous invite à m'expliquer"
Pfff il est tard malheureusement... Et je voudrais éviter de me répéter... J'espère que vous avez saisi pourquoi choisir les espèces hydrothermales (milieux extremes) est bien mal venu pour illustrer la tolérance des espèces marines en general aux variations de pH ??
Concernant l'article dont vous parlez le voilà
ainsi qu'un résumé pour les feignants...
Et là... on ne vois visiblement pas la même chose... Puisque moi je lis:
"What was really interesting was that some of the creatures, the coral, the hard clam and the lobster, for example, didn’t seem to care about CO2 until it was higher than about 1,000 ppm
C'est à dire que ces trois espèces font partie des "durs à cuire"... les autres ayant déjà montré des signes de faiblesses bien avant 1000ppm...
Au delà de 1000ppm, les langoustes continuent de calcifier... mais elles sont une des exceptions du jeu de données !!!
Vous pouvez vous référer aux figures de l'article qui sont plus qu'EXPLICITES (en abscisse la concentration en carbonate disponible et en ordonnée le taux de calcification... enfin moi je dis ça pour aider hein...)
Je vous prierai d'apprécier les conclusions de ce travail à leur juste valeur:
"It’s hard to predict the overall net effect on benthic marine ecosystems, he says. In the short term, I would guess that the net effect will be negative. In the long term, ecosystems could re-stabilize at a new steady state."
"In addition, Cohen adds, even though some organisms such as crabs and lobsters appear to benefit under elevated CO2 conditions, the energy they expend in shell building under these conditions might divert from other important processes such as reproduction or tissue building."
Et une petite nuance par rapport à votre propos Gordon: il faudra 200 ans (et non plus de400ans comme vous dites) pour arriver à ~900ppm de CO2... (voir le resumé sur le site de la WHOI)
Alors, qu'en pense le monsieur qui a fait prepa Math :-) ??? On apprend pas l'anglais en prepa ou c'est juste la mauvaise foi qui vous étouffe ?
Puisque je me laisse aller à la moquerie, deux mots concernant ma soit-disant "condescendance"...
Que la science puisse être déformée comme vous venez de le faire (et comme on l'observe souvent sur ce blog j'ai l'impression) dans l'objectif (purement ideologique) de défendre l'économie de marché en niant son impact environnemental, me met tout simplement hors de moi...
Surtout quant à son possible impact sur ceux qui pourraient ne pas avoir assez de background scientifique pour garder un esprit critique sur ce que vous racontez...
Voyez mes interventions et celles de Warm du bon côté: à nous deux, nous évitons que ce site devienne un ramassis de pseudo-science partisane...
Désolé donc d'être "condescendant" mais on est pas dans un jardin d'enfants... Et moi je ne me plains pas de la façon dont on me parle...
Vous qui adorez les références... je vous en laisse deux pour la route... pour que vous puissiez fêter dignement mon retour :-)... l'une dans Science ,et l'autre dans PNAS
Vous allez adorer !!! Celles ci, même si vous ne comprenez pas ou ne voulez pas comprendre ce qu'il y a dedans, je ne vois pas comment vous pourriez falsifier ne serait ce que leur titre ou leur resumé...
Bonne lecture...
Rédigé par : Laterjuju | mardi 09 février 2010 à 05h08
Rédigé par : Laterjuju | mardi 09 février 2010 à 05h18
Au fait Gordon,
Vu votre "misinterpretation" des données de Ries, je serais très curieux de voir ce lien vers le papier dans Science qui traite du pH en mer de Chine...
Le lien que vous donnez ne renvoie qu'à la page d'accueil...
Rédigé par : Laterjuju | mardi 09 février 2010 à 05h38
En vrac quelques papiers récents sur l'acidification des océans
http://go2.wordpress.com/?id=725X1342&site=agwobserver.wordpress.com&url=http%3A%2F%2Fwww.bu-eh.org%2Fuploads%2FMain%2Fdoney_ann_rev_proof.pdf
http://go2.wordpress.com/?id=725X1342&site=agwobserver.wordpress.com&url=http%3A%2F%2Fwww.pnas.org%2Fcontent%2F106%2F30%2F12235.full.pdf%2Bhtml
http://go2.wordpress.com/?id=725X1342&site=agwobserver.wordpress.com&url=http%3A%2F%2Fpondside.uchicago.edu%2Fecol-evol%2Ffaculty%2FPfister%2Fpdfs%2FWootton_Pfister_Forester%2520PNAS%25202008.pdf
http://go2.wordpress.com/?id=725X1342&site=agwobserver.wordpress.com&url=http%3A%2F%2Fwww.pnas.org%2Fcontent%2F105%2F48%2F18860.full.pdf%2Bhtml
http://go2.wordpress.com/?id=725X1342&site=agwobserver.wordpress.com&url=http%3A%2F%2Fquercus.igpp.ucla.edu%2Fpublication%2Fpdf_files%2Forr_nat_05.pdf
Rédigé par : Warm | mardi 09 février 2010 à 15h29
@ Laterjuju : c'est bizarre j'arrive à faire les deux moi ;-) pas un cerveau multifonctionnel??
Rédigé par : mica | mardi 09 février 2010 à 17h06
@Mica
Normal...vos commentaires sont aussi brefs que pauvrement référencés :-)
Rédigé par : Later_juju | mardi 09 février 2010 à 17h54
moi au moins mes articles sont acceptés... qu'est ce que j'en ai à caler de se que je publie ici, on dirait que c'est un fait d'arme pour toi... chacun sa gloire hein ;-)
Rédigé par : mica | jeudi 11 février 2010 à 19h00
@Mica
Je ne suis pas très sûr que ces attaques répétées, gratuites, malpolies, mais surtout non argumentées serviront réellement votre "propos" vis à vis des gens qui pourraient venir ici chercher de l'info sur l'acidification des oceans...
Contrairement à vous, j'ai apporté ici des liens vers de l'info scientifique... et rectifié, en tant que biologiste, les interprétations erronées faites par Gordon de l'un de ces articles...
Je l'ai dit et le redis... JAMAIS vous ne trouverez un seul expert pour vous dire que l'acidification des oceans aura sur les organismes marins un effet globalement (cad à l'échelle des écosystemes) positif...
Qu'une perturbation environnementale (a fortiori le pH, un paramètre chimique des plus importants pour de nombreux organismes marins) puisse avoir un effet globalement positif... est un non sens du point de vue de l'écologie et du point de vue de l'évolution...
Pour finir... ne vous en faites donc pas pour mon indice de citation... il se porte fort bien...
Rédigé par : Later_juju | jeudi 11 février 2010 à 20h57
Faut assumer les attaques mon petit bonhomme ;-)
'indice de citation' ---> indice d'auto-satisfaction plutôt...
Rédigé par : mica | vendredi 12 février 2010 à 19h00
later_juju@
Je savais que je vous manquais... mais que voulez vous, publier dans des vraies revues prends plus de temps que sur les blogs...
Je m'excuse pour cette longue abscence mais des récents déplacements à l'étranger ne m'ont pas permis de répondre au grand donneur de leçon que vous semblez être.
Concernant vos publications scientifiques, pouvez vous nous faire parvenir les coordonnées que nous puissions en vérifier la véracité.
Je sais que vous officiez sur le courrier des lecteurs du quotidien libération, où nous pouvons lire vos magnifiques proses concernant votre CV:
29 ans doctorat en biologie, assisant de recherche à 1200 euros/mois avec le public espoir de devenir (titularisation) chercheur-fonctionnaire, euh sorry, enseignant-chercheur à 6 heures de cours par semaine qui cherche mais ne trouve pas souvent.
Vous ferez ainsi parti de nos grandes élites scientifique, que le monde nous envie.
Rédigé par : gordon | dimanche 14 février 2010 à 19h11
later_juju@
Je me suis permis, même si c'est je suis un ignorant à vos yeux, de lire les articles que vous présentez par vos liens avec des textes et des études aux titres accrocheurs, du genre "L'acidification des océans menace les organismes marins" etc. etc., dont la substance se résume à quelques affirmations infondées, la description d'un ou deux problèmes et la présentation d'une relation causale hypothétique (usage permanent du conditionnel) entre ceux-ci et la supposée augmentation du CO2 atmosphérique d'origine anthropique (à l'exclusion bien entendu et curieusement de toute autre cause possible), suivi d'une description des catastrophes que "pourrait" apporter ce problème dans l'avenir. je prétend (je signe et persite)qu'on est déjà dans l'idéologie, dans le propagande, et que rien ne permet de dire que ces articles, textes et études ont une qualité scientifique. A part celle d'être des hypothèses de travail ; mais certainement pas des vérités établies (comme pour vous later_juju qui vivez dans le monde de oui-oui).
Vos liens concernant la stabilité du PH océanique, je tiens à souligner ceci (malgré mon ignorance de non scientifique): les océans sont des systèmes extrêmement dynamiques chimiquement, physiquement et mécaniquement. Ils interagissent massivement avec la croûte minérale terrestre, avec l'atmosphère et avec la biosphère. Les entrées et sorties de molécules et d'atomes sont d'origines multiples - par exemple les zones volcaniques sous-marines, qui ne se contentent pas d'émettre du CO et CO2, mais toute la gamme des produits qui, s'ils étaient émis pas l'homme, seraient une grave pollution ; on pourrait aussi signaler l'absorption par la biosphère du CO2 océanique, puisque, plus de 95% de la végétation planétaire se trouve dans les 100 premiers mètres de la couche océanique (selon les mêmes liens fournis par vos soins).
Le ph océanique "moyen" actuel est en vérité, d'après ce que je lis, légèrement basique, puisqu'il est d'environ 8,17. Si est avéré que cette valeur change, nous voici bien embêté : la qualité du ph océanique est l'exemple même d'une causalité multifactorielle inextricable. Alors que vous, pourtant biologiste marin mondialement reconnu,vous nous affirmez de manière péremptoire disposer des études validant définitivement votre théorie.
D'ailleurs la question d'un "ph moyen" océanique pose autant de problèmes que celle de la "température moyenne" atmosphérique dont se servent les nullards du GIEC. C'est une chimère inutile au pire, un cas virtuel pour les besoins d'une modélisation au mieux, mais il ne faut jamais en parler comme d'une réalité physique.
Alors, que des "scientifiques" (A mon avis ce sont les modélisateurs, et ceux qui expérimentent) réussissent à isoler UNE cause (à l'exclusion de toute autre) à l'acidification supposée des océans.
Pourtant, grâce au net, on peut faire une recherche intitulée "acidification des océans" et constater que, c'est acquis, c'est le CO2 d'origine anthropique qui cause cette "acidification moyenne".
Voilà pourquoi, je n'ai pas besoin de me lancer dans des démonstrations scientifiques poussées pour fonder mes affirmations: la méthodologie scientifique des réchauffistes et des acidifistes est plus que douteuse (elle se plie à un agenda malthusien), la propagande remplace la communication scientifique, et l'invective (comme vous nous le démontrez dans vos nombreux posts car comme Warm, vous avez beaucoup de temps libre).
Juste pour finir, une petite remarque à votre encontre, je trouve navrant votre comportement verbal au fil des posts, et je pense qu'un peu plus d'humilité vous rendrez plus crédible, au lieu d'afficher ce ton professoral méprisant.
Mais il est vrai que vous êtes déjà formatez au moule de notre enseignement supérieur, si performant et pourtant si déserter par les étudiants étrangers.
Rédigé par : gordon | dimanche 14 février 2010 à 19h40
Pour ceux qui ne seraient pas encore au courant, le professeur Phil Jones, a fait une interview pour la BBC, et cela décape:
http://news.bbc.co.uk/2/hi/science/nature/8511670.stm
En autre, il reconnait qu'il n'y a pas de réchauffement significative depuis 1995. Le climategate aura vraiment été le 'tipping point' pour les sceptiques.
Rédigé par : floyd | dimanche 14 février 2010 à 22h56
"En autre, il reconnait qu'il n'y a pas de réchauffement significative depuis 1995. Le climategate aura vraiment été le 'tipping point' pour les sceptiques."
Oui, ça décape:
"I'm 100% confident that the climate has warmed. As to the second question, I would go along with IPCC Chapter 9 - there's evidence that most of the warming since the 1950s is due to human activity."
Ensuite il ne dit pas que celà ne s'est pas réchauffé depuis 1995: il dit que la tendance 1995-2009 n'est pas significative, parce que pris sur une période trop courte.
Si on a une tendance d'acroissement linéaire auquel s'ajoute du bruit, il faut un temps minimum pour capter la tendance sans être influencer par le bruit, lire à ce sujet ceci:
http://forums.infoclimat.fr/index.php?showtopic=40167&st=240
Rédigé par : Warm | lundi 15 février 2010 à 09h51
@ Gordon: "comme vous nous le démontrez dans vos nombreux posts car comme Warm, vous avez beaucoup de temps libre)" ben quand on voit son CV (merci ;-) lol) on comprend mieux...
Rédigé par : mica | mardi 16 février 2010 à 14h19
@Mica et Gordon,
Comme c'est meugnon d'aller voir mes vieux post sur Libé...
Puisque cela vous intéresse visiblement, j'ai changé d'activité: je suis en post-doctorat au Japon désormais, où je gagne bien mieux ma vie qu'en France...
J'ai aussi abandonné l'idée de chercher la titularisation en France... Pas assez de moyens, aucune reconnaissance et des andouilles de votre type qui se permettent de nous dire ce sur quoi on doit chercher et ce sur quoi on ne doit pas ...
C'est tout le contraire à l'étranger: on est bien payé, on a de vrais moyens et y'a nettement moins de réac de votre sorte...
Quant à ce que vous pensez de la recherche française, vous êtes vraiment à côté de la plaque. Si les étrangers et les français eux mêmes fuient la France, c'est à cause du manque de moyen... rien à voir avec les compétence scientifique... D'ailleurs, vous apprendrez que les labos étrangers sont friands de Docteurs français, en raison de la grande qualité de notre formation, justement...
Vous me faites rire quand vous balayez d'un revers de la main les 10 références (et les 100 chercheurs qui sont derrière) que je vous donne sans avoir aucun background dans la specialité concernée...
En fait, ça me fait vraiment plaisir que vous en arriviez aux attaques personnelles... Ca confirme que vous avez déjà épuisé vos ressources en vrais arguments scientifiques...
Y'aura pas eu besoin de gratter très profond pour ça...
Rédigé par : laterjuju | dimanche 07 mars 2010 à 23h21
_COMMENC PAR CHANG LE MONDE AVANT D'Y FR SON TROU QD IL EST CHANG Y paillaSSc
_le climatospti6me con6te à volet sur de grands spas ça fait tourner les laides raffineries et fumer le kérozn
_pour ski est de la rechrche de + en + de populations mesurent ses retomb avec pour exemple d'ffet ; bankiz et banks fondent
Rédigé par : darevi | samedi 30 octobre 2010 à 13h54
Je laisse chacun juger du désastre intellectuel que révèle le message ci dessus ("darevi"), où le degré zéro de l'argumentation répond à l'absence du plus élémentaire respect de la langue française. Un "collector" !
Rédigé par : vincent | samedi 30 octobre 2010 à 19h00