Zéro inspiration hier soir, il faudra attendre un peu le prochain article...

Comments

[Rédigé par : Aurélien]

Borloo ! Morin ! Villepin ! morne plaine !
Comme une onde qui bout dans une urne trop pleine (NDT : "bourrée"),
Dans ton cirque de bois, de coteaux, de vallons,
La pâle mort mêlait les sombres bataillons.
D'un côté c'est l'Europe (et la BCE) et de l'autre la France.
Choc sanglant ! des libéraux Dieu trompait l'espérance ;
Tu désertais, victoire, et le sort était las.
O Fillon ! je pleure et je m'arrête, hélas !
Car ces derniers soldats de la dernière guerre
Furent grands ; ils avaient vaincu toute la terre,
Chassé vingt rois, passé les Alpes et le Rhin,
Et leur âme chantait dans les clairons (et la monnaie) d'airain !

Bon, ça devient inquiétant de s'ennuyer à ce point.

[Rédigé par : vincent]

Alors là, Chapeau, président.

[Rédigé par : maurice b.]

Tiens, c'est curieux vous avez retiré précipitamment (par opportunisme, sans doute,suite à la catstrophe du Var), vos propositions de rendre absolument tous les terrains constructibles et utilisables par leurs propriétaires.
Le bétonnage des campagnes et la multiplication des panneaux publicitaires (pour faire rentrer du cash et sortir de la crise) dans les vallées alpestres ou sur le littoral atlantique ne fait plus partie de vos lubies ?

[Rédigé par : vincent]

Maurice, je n'ai absolument rien retiré du tout. Cherchez mieux, si c'est dans vos possibilités.

Quant à la multiplication des panneaux publicitaires, là, je ne vois pas de quoi vous voulez parler.

Si vous m'aviez un peu lu, vous sauriez que c'est la contrainte étatique qui pousse à construire dans les endroits les plus scabreux. Quant à la catastrophe du var, elle a touché des communes majoritairement pourvues de PPRI, comme quoi la loi ne peut guère contre les éléments.