Je croyais avoir compris l'ensemble des tenants et aboutissants de l'escroquerie originelle derrière le Foreclosuregate, dont je vous rebats les oreilles depuis trois semaines. Et bien si c'était une fusée, mes articles précédents en auraient démonté les deux premiers étages, mais il manquerait encore le troisième ! Je suis encore stupéfait par l'ampleur des malfaisances auxquelles nombre d'acteurs de la finance se sont livrés. Et rien ne dit qu'il n'y aura pas d'autres découvertes encore plus folles.
Montez avec moi dans la voiture de tête de la plus grande escroquerie financière de l'histoire. Maddoff, Stavisky, Ponzi, et Arsène Lupin sont enfoncés. Et moi baba !
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On dirait un article écrit pour un premier avril tellement c'est gros.
L'économie capitaliste libérale est une économie de la confiance et de l'honnêteté. Ceci va de paire avec le fait que c'est une économie de la responsabilité. Apparemment l'honnêteté a été oublié quelque part en chemin. Ce qui met à mal toute la chaîne de confiance nécessaire au bon fonctionnement de l'économie libérale. Il ne reste qu'une chose à faire pour garantir le sauvetage du système : appuyer le volet Responsabilité sans faillir. Il n'est jamais trop tard pour le faire.
La pire chose à faire serait d'enterrer les affaires, régulariser les fraudes, passer l'éponge avec deux ou trois bouc émissaires, et couvrir les pertes. C'est pourtant la solution que l'on a préférée depuis le début de la crise, en agitant le spectre du risque systémique et du chaos.
Rédigé par : ST | vendredi 29 octobre 2010 à 10h06
Conclusion : les institutions US sont pourries jusqu’au trognon.
En plus de cette immense fraude, on peut ajouter que la Californie est en faillite parce qu’elle ne peut pas augmenter ses impôts, (joie des votations)
qu’Obama a eu le plus grand mal à faire passer sa réforme de la santé alors même qu’il avait une majorité confortable, et que pour le faire il a du déverser des tonnes de subventions, (paralysie des institutions)
que faute de politique du chômage (rigidité dogmatique), c’est la FED qui s’en charge en déversant des tonnes de dollars qui déstabilise l’économie mondiale…
Finalement l’ USA n’ont rien à envier à l’Argentine niveau pourriture et paralysie des institutions, c’est le petit coté tiers monde de l’oncle Sam. Par bonheur le secteur privé paye pour toutes ces conneries, mais pour combien de temps ?
L’avantage du temps de la guerre froide, c’est que les dirigeants avaient peur de la colère du peuple et étaient plus prudent. Mais les américains sont trop mous, pas assez contestataire. Il faut qu’ils descendent dans la rue et se mettent à casser la baraque pour faire peur à leur dirigeant. Sinon rien ne sera fait et les abus seront absout et se poursuivront jusqu’à la chute finale.
Rédigé par : JB7756 | vendredi 29 octobre 2010 à 12h56
Le pire, c'est que ne va changer.. Rien n'a changé depuis le début de la crise. On est dans l'inertie du bateau, on attend l'iceberg ! Notre système Titanic va couler.
Rédigé par : Keyv | vendredi 29 octobre 2010 à 15h50