« Economie du bon sens (3): Pourquoi l'état intervient-il dans l'économie ? | Accueil | L'économie du bon sens : La croissance, pour quoi faire ? »

vendredi 11 mai 2012

Commentaires

Flux Vous pouvez suivre cette conversation en vous abonnant au flux des commentaires de cette note.

 ST

> si Barack Obama venait à soutenir cette avancée,
> alors, à mon sens, il assurerait sa réélection,
> en montrant qu'il est capable de protéger les
> contribuables américains contre les "mauvaises"
> grandes banques

Le coeur de la campagne présidentielle américaine tournant autour de la question clé des faillites bancaires ? Ce serait un peu comme si la campagne présidentielle française avait tourné autour du problème de la dette ...

Non non, Obama a choisi un cheval de bataille autrement plus important, excuse moi, que tes histoires anecdotiques de faillites bancaires : ce sera la question ô combien plus cruciale du mariage homosexuel. Voilà.

Rappelons en outre que Goldman Sacks et Morgan Stanley sont dans le top 5 des plus gros contributeurs d'Obama comme de Mitt Romney. L'espoir que le débat de la campagne porte sur des réforme bancaires est somme toute assez limité.

Mais bon, que les techniciens qui travaillent sur les dossiers entrevoient enfin la lumière et propose des solutions raisonnés et raisonnables, c'est en effet une bonne nouvelle. Que cela passe au travers du double crible du pouvoir des lobbys et de la démocratie aveugle, c'est évidemment tout autre chose.

vincent

La campagne n'est pas finie, et l'incident JP Morgan va remettre la finance sur le devant de la scène. Il y a une fenêtre d'opportunité.

keyvan

Vous croyez vraiment que cela peut fonctionner avec les dettes souveraines ? Je vois mal les US dire de manière officielle que le pays appartient à X% à la chine et autres nan ? même si c’est déjà le cas..

vincent

@keyvan: si un état fait défaut, et que ça met des banques en faillite, ça marche avec les banques. Par contre effectivement, ça ne marche pas avec les états: c'est ce qui rend la dette publique particulièrement nocive quand le débiteur est défaillant.

François Brutsch

Ca ressemble, me dit un spécialiste, au régime qu'a adopté récemment en Suisse le Parlement: les grandes banques systémiques (UBS et Credit Suisse) doivent disposer d'une partie de leurs fonds propres sous forme d'obligations convertibles.

L'utilisation des commentaires est désactivée pour cette note.

Ob'lib' 2.0

  • |  RSS | | http://www.wikio.fr

    Partager cette page | Mon profil Facebook | mon fil twitter

Mon fil Twitter

distinctions

  • Wikio - Top des blogs | Wikio - Top des blogs - Politique