La crise chypriote a suscité énormément de commentaires, d'analyses, et d'indignations sélectives. Comme d'habitude, la presse dite "mainstream" s'est montrée parfois assez superficielle, et nombreux sont les analystes invités à s'exprimer sur le sujet qui ont mal présenté, voire caricaturé certains aspects de la situation de l'île méditerranéenne.
Les raisons de s'indigner ne sont pas toutes là où vous le croyez.
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Merci, Monsieur Bénard, pour ces précisions bienvenues et lumineuses qui nous changent de l'éternelle invective sur "les méchantes banques", "les profiteurs", "les horribles actionnaires", et "les gros qui se gavent" de nos intellectuels de broussaille qui font la pluie et le beau temps dans les médias qui ne savent que flatter notre jalousie et notre envie naturels. Quand à l'article que vous proposez sur la Nouvelle Zélande, il m'intéresse au plus haut point. Je sais que ce pays est parti de très bas dans sa dérive socialiste il y a quelques dizaines d'années et à réussi à s'en sortir par des mesures courageuses que nous ferions bien d'imiter. Votre analyse sur son système sera donc certainement du plus haut intérêt.
Rédigé par : Fraançois | vendredi 22 mars 2013 à 13h40
Finalement, la solution retenue dans la nuit du 24 au 25 mars correspond à une mise en liquidation de la Banque Laïki et en redressement de Bank of Cyprus, en préservant toutefois les dépôts de moins de 100000 euros, ce qui évite d'avoir à faire jouer la garantie européenne sur ce type de dépôts (garantie que l'Etat cypriote est loin de pouvoir honorer). Pensez-vous que ce schéma se rapproche des solutions de faillite bancaire que vous avez évoquées à maintes reprises?
Rédigé par : Jean-Michel Bélouve | lundi 25 mars 2013 à 08h06